
ACCÈS AUX
SOINS POUR
TOUTES ET TOUS
La santé et la santé mentale des jeunes en France
représentent des enjeux cruciaux dans notre société
contemporaine.
Le système de santé est parfois difficilement accessible ou insuffisamment adapté aux besoins spécifiques des jeunes. Les politiques sociales et économiques jouent également un rôle, car l'insécurité financière et les inégalités peuvent exacerber les problèmes de santé mentale ou de non-recours aux soins.
Les propositions des jeunes français.e.s
Proposition #1. Une meilleure connaissance des parcours de soins
Simplifier et améliorer la lisibilité des procédures administratives et renforcer l’éducation à la santé afin de garantir l’égal accès aux soins pour tou·te·s.
Proposition #2. Des politiques publiques plus adaptées
Faire de la santé mentale une priorité dans les politiques publiques.
Les piste d’actions à différents niveaux
Échelle nationale
#1. Utiliser les outils de l’éducation populaire ainsi que les plateformes numériques afin de diffuser du contenu sous formats « publicitaires ». Aussi, utiliser les réseaux sociaux comme Tik Tok en créant un TikTok national pour relayer les informations de santé.
#2. Centraliser les informations en santé à échelle européenne, sur un site dédié, et favoriser l’apprentissage par les pairs et le partage de pratiques.
Échelle européenne
#1. Mettre en place des actions et des outils de prévention, de sensibilisation et d’accès aux soins pour les jeunes, qui se dérouleraient tout au long du cursus scolaire.
#2. Promouvoir la sensibilisation et les actions en lien avec la santé mentale à travers des initiatives collectives et citoyennes comme des groupes de paroles, par le biais d’associations, dans des sphères formelles ou informelles.
Ce que dit la résolution européenne
Renforcer la coopération transfrontalière et les instruments de l’UE dans le domaine de la santé mentale et physique en encourageant la recherche sur la santé mentale, en développant des méthodes communes de suivi et de prévention pour les territoires moins développés, et en partageant les bonnes pratiques concernant l’expansion des services de santé mentale dans les zones rurales et éloignées.
Ce que les institutions font déjà

Ce que les assos font déjà
